mardi 30 décembre 2008

Quelle différence y'a-t-il entre le bon et le mauvais black metal ?

Le bon black metal c'est un mec qui est sur scène tu vois, il est habillé tout en noir et puis il crache tu vois; et le mauvais black metal le mec il est habillé tout en noir, il est sur scène et il.. il crache mais... Si tu veux, c'est simple, le mauvais black metal, le mec il est habillé tout en noir, il crache mais c'est... alors que le bon black metal, bon le mec il est habillé tout en noir mais il crache tu vois, il crache, ça n'a rien à voir. C'est question tu as le mec qui fait du mauvais black metal il arrive, il est habillé tout en noir, il crache tu vois, c'est tout; le mec qui fait du bon black metal, putain, il est habillé tout en noir, il crache ! Je veux dire, c'est évident, il y a le bon et le mauvais black metal...


lundi 29 décembre 2008

mardi 23 décembre 2008

japanimation

AIR [2005]

studio :
Tōei Animation

de :
Osamu Dezaki

Film d'1H30.

Je te fais le film dans la foulée. A ton service, tu sais combien.

Pas besoin de chercher l'info sur Google, je te parie mon doigt à couper (le souffle) que ce film est postérieur à la série. Oui, on a aimé Air TV mais on sait tous les deux que le mystère qui transpire de l'anime ne vient pas d'un scénario rondement mené mais plutôt d'une surface qu'on ne quitte jamais. Que c'était long pour une si petite série ! Long comme l'éternité, on en a déjà parlé. Et puis on savait plus où on campait dans ce Code Quantum like avoue. No regrets my friend : Air, le film, t'apporte tout ce dont tu rêvais au pied du sapin. Un anime aussi fluide qu'une bonne pâte à crêpes; fini les dispersions, on se concentre uniquement sur la jolie blonde qui ne sourit que pour toi. Plus mûre, toujours aussi mignonne, elle tombe bel et bien amoureuse du bel étranger, lui dit, l'embrasse tendrement, parce qu'elle n'a pas une minute à perdre - ça tu le savais déjà. Une légende, une vraie, sur fond d'estampe japonaise. Un jeu des 7 différences, une foule de petits détails qui m'ont ravie et qui font enfin d'Air un anime de qualité, bien moins frustrant et toujours aussi beau.

P.S: Ne t'inquiète pas, ils ont gardé la même opening song :)

vendredi 28 novembre 2008

japanimation

AIR [2005]

studio : Kyoto Animation

de : Tatsuya Ishihara

Série composée d'un prologue, de 12 épisodes, d'un résumé et de 2 OAV.

Un étranger qui débarque en ville. Le coeur des petites filles qui bat plus vite, trop vite. Qui rêvent de voler. Des mères absentes, presque indignes. Des femmes qui prennent le relai. Mascarade. Des ailes qui refusent de pousser. Qui font mal. Dis-moi ce qu'il t'est arrivé, comment en es-tu arrivé à penser Air ? Je m'inquiète pour toi. Des dessins juteux pour une poignée de fillettes. Une qui croit à la magie pour oublier les marques qu'elle s'est fait sur le poignet. Une qui attend son père qui ne rentrera plus, tous les soirs, en rêvant si fort qu'elle en abolit la mort et le drame. Et une qui peut mourir si on s'attache à elle, mais qui essaye quand même, de toutes ses forces. Toutes les trois regardent vers le ciel, ouvrent leur bras, les tendent vers la Mer, en rêvant d'infini. Et qui y a t'il de plus infini que de désirer voler dans les cieux ? Désirer mourir c'est désirer renaître non ? Dans ce cas, le rêve intime de petites filles se transforme toujours en légende, quelque chose qui est arrivé il y a bien longtemps, dans un royaume très très lointain, et qui deviendra éternel. Lecteur, pour Noël, je t'offre une bouffée d'Air.
Le temps d'un été, dans une ville sans pères, au bord de la mer, le destin de trois vierges va soudain basculer.
P.S : La légende se précise, ultra touchante, dans les deux OAV supplémentaires que tu dois mater entre l'épisode 8 et l'épisode 9 de l'anime.

jeudi 13 novembre 2008

et fin.

Mention spéciale pour Audrey Najar (26 ans) et Frédéric Perrot (23 ans), tous deux diplômés de l'ESRA où ils se sont rencontrés. Ils ont l'air ma foi plutôt bien lancés (pubs, clips, contrats qui commencent à tomber). Inutile de leur en souhaiter davantage. Manquerait plus qu'ils soient un couple heureux. Je vous laisse l'adresse de leur site ainsi que celle de leur myspace. On entendra encore parler d'eux, croyez-moi !

http://www.najar-perrot.com/
http://www.myspace.com/najarperrot

Pour le plaisir :



vendredi 31 octobre 2008

suite

LES PETITS SUICIDES DE M. RAOUL [2008]

Réalisé par : Audrey Najar et Frédéric Perrot [France]

Série de trois épisodes.

Fort du succès de leur premier court-métrage, Najar et Perrot imaginent alors une série de trois sketchs directement inspirés du Phénomène Paul-Émile Raoul; où Patrick Bouchitey y a été judicieusement remplacé par Daniel Berlioux dans le rôle du célèbre Professeur. Faites passer le mot : M. Raoul met désormais toute sa recherche au service des autres. Une simple lettre et vous pourrez enfin avoir le suicide que vous méritez. Parce que vous le valez bien.












Bonsoir la France !

mercredi 29 octobre 2008

kinéma

LE PHÉNOMÈNE PAUL-ÉMILE RAOUL [2006]

Réalisé par : Audrey Najar et Frédéric Perrot [France]

Court-métrage d'une vingtaine de minutes.

Découvrez l'histoire incroyable d'un homme qui ne donna rien mais qui reprit tout. Un homme qui se fit des colliers de la peine des autres. Du grand, de l'unique, de l'impardonnable : Paul-Émile Raoul.

Pas besoin de tourner autour du pot. Découvres tout de suite qui était ce fameux M. Raoul en cliquant ici.

Suicide-toi,
mais fais le bien !

lundi 27 octobre 2008

literatura

BIOGRAPHIE DE LA FAIM [2004]

De : Amélie Nothomb [Belgique]

Publié en Livre de Poche - n°30562 [5,50€]

Roman de 190 pages.

Quand ton livre a été publié, j'étais à l'étranger. Tu ne m'excuseras pas bien sûr. Si ça peut te consoler, et je veux te consoler d'une telle abomination, j'ai ressenti l'horrible crime que j'avais commis en finissant de lire ta Biographie de la faim. Jusque dans ma chair, dans mon pauvre corps si complémentaire du tien. Dodu, gras et lourd. Mais en voie de rédemption car si je cite un seul paragraphe de ce livre et bien je serai guérie. Tu avais tout compris ma grande. Et j'ai osé perdre ma nationalité française juste au moment où tu m'accordais ta grâce indicible. Mais lisible et risible en une seule nuit, ça ne rate jamais.

Au lecteur (toujours isolé) de mon blog : tu te demandes presque ce que tu viens faire là-dedans n'est-ce pas ? Oui je t'aime un peu moins que ce que tu as pu voir dans le début de cette chronique mais tu es aussi important à mes yeux. Et Biographie de la faim est l'occasion pour moi de te parler d'Amélie et de ma vie, je n'allais vraiment pas me gêner. Non je ne l'apprécie pas plus que ça, justement. Je ne connais rien de son actualité, je n'ai pas de photo d'elle sur ma table de nuit, j'ai rigolé quand on a dit qu'elle était lesbienne, je ne trouve pas qu'Amélie écrive divinement bien et ne la considère pas comme mon auteur préféré. Et enfin, pour couronner le tout, je lui donne un genre. Elle pourrait m'étrangler de ses deux mains pour ça. Et je la laisserai faire en souriant. Parce que ça aurait été simple et efficace, beau et banal; comme elle aime et comme elle écrit.

Je t'ai rencontrée à Lille. Alors que je suis de Montpellier. Oui bien sûr que je vivais à Lille à ce moment là, mais considère que je me suis hissée au point culminant de ton lectorat français uniquement pour te voir. Pour une queue monstrueuse. Pour une dédicace. Pour ne pas avoir essayé de te toucher la main quand tu m'as rendu ton livre. Pour une conférence. Pour quelques mots échangés avec toi, sans que tu ne sourisses. Pour avoir hésité à te violer sur place, vivre sous ta jupe toute une soirée. Dans cette immense salle où j'ai fait attention à ne pas m'asseoir ni trop près ni trop loin. Et puis merde, pourquoi tu m'excites ? Tu te prends pour qui ? Oui je t'ai aimé. Oui je m'en suis remise. Considère aussi que j'ai quitté la France pour t'oublier. Et Biographie de la faim, que tu n'as écrit que pour moi, te pardonne pharaoniquement.

C'est de faim qu'elle te parle. La faim. Celle qui anime tout être humain. Certains plus que d'autres. Et je suis un loup en la matière. Ma meute famélique et moi n'auront pas besoin de relire ce livre pour piger ce qu'elle baragouine. Ce sera juste les quelques lignes d'une amie. D'une amie qui a failli mourir de faim, parce qu'elle avait grand faim d'ailleurs. Et qui a survécu. Non sans sentir, j'imagine, à chaque instant qui passe, les coupures cruelles et intestines d'une faim qui tenaille nos ventres, tout aussi démesurés que notre gloutonnerie. Born to gulo.

P.S : Si tu ne connais pas (ou très peu) cet auteur, je te conseille d'autant plus la lecture de cette biographie, sur laquelle peuvent venir se greffer tous ses autres romans.

mardi 21 octobre 2008

dorama

DENSHA OTOKO [2005]

Traduction : L'Homme du train

Diffusé par : Fuji TV

Série de 11 épisodes + 1 spécial.

Un j-drama sur mon blog ! Ça devait bien finir par arriver un jour. Impossible de lutter et tout ça. Et puis celui-là, pas vraiment moyen d'y échapper. Un gros gros succès donc pour mon premier dorama.

Otoko. Encore une histoire d'amour. Que serait la culture visuelle moderne japonaise sans cet obscur sentiment ? Allez ! J'attends que tu réfléchisses à cette question.
C'est fait ?
Normal, me direz-vous, que le Japon rêve d'amour, un pays où la très grosse majorité des couples sont formés par les agences matrimo. Où l'amour de ta vie représente le premier gros budget de ta vie active. Et où tu dois te caser à tout prix car tu le sais très bien, t'es célibataire t'es rien ma fille.

Otaku. Et quelle histoire d'amour mes enfants ! Lorsqu'un otaku tokyoïte, un geek d'Akiba si tu préfères, se décide à sauver une jolie fille des griffes d'un ivrogne lubrique dans le wagon d'un RER c'est tout le milieu otaque qui lève un oeil sur Fuji TV. Haaa (soupir) ce wagon de train, qui n'en a pas rêvé ? Certains bordels de Tokyo ont même transformé quelques chambres de passe en intérieur de RER. Avec micro-pute en mini-jupe collégiale intégrée, qui t'attend l'air de rien, en tenant ferme la poignée verticale du pseudo-métro. Ho nonooon monsieur pas çaaa. Ca te fera 14.000 yens. Sans ticket.

Otokar. Et tu croyais que la belle allait lui tomber dans les bras ? T'as pas pigé que c'était un triso ? Soit 11 épisodes de galères les plus hilarantes les unes que les autres avant qu'il ne conclue l'affaire par un chaste baiser. Parce que c'est un otaku ça oui mais un otaku c'est tout un forum internet derrière toi, c'est tout un complot organisé qui t'encercle petit à petit, et oui connasse, tu vas l'embrasser ma tête de bite, parce que je t'aurais à l'usure, et que c'est toi qui va payer pour toutes ces salopes de japonaises bien gaulées qui n'ont jamais voulu de nous. Bien fait. ^^
Tu t'indignes lecteur ? Mais si tu veux de la chronique propre ne viens pas ici mon sucre d'orge. Mais bien sûr que si j'ai aimé Densha Otoko. L'ai maté deux fois. Tu vois bien que j'ai un blog et que je te caresse en japonais non ? Hey, j'ai même mon forum rien qu'à moi, ma vraie famille de tordus, que j'aime et que je subis, parce que c'est presque ça l'amour. Tu veux l'adresse ? Desolay je ne partage plus, ça m'a coûté mon couple*.
A Benjamin, Julien*, Simon, Matthieu, Clément et tous ceux qui se reconnaîtront. Vos vrais pseudos finalement, ce sont vos prénoms.

P.S : Pour mieux comprendre le phénomène otaku lisez Otaku - Les enfants du virtuel de Etienne Barral ou plus récemment Génération otaku - Les enfants de la post-modernité par Hiroki Azuma. Et retrouvez-les en mangas et animés dans Genshiken ou Bienvenue dans la NHK ! (Déjà chroniqué sur ce blog.)

Bonus : L'Opening theme de Densha Otoko !

vendredi 3 octobre 2008

literatura

TOKYO RHAPSODY [2008]

De : Antoine Misseau [France]

Publié aux Editions de La Musardine [Paris]

Roman de 380 pages.






Commence par acheter le livre, on gagnera du temps.

mardi 23 septembre 2008

La chanson du dimanche


Clément Marchand à la guitare et Alexandre Castagnetti au synthé forment le duo du groupe de chansons humoristiques La chanson du dimanche. Ce sont vraiment leurs noms ?? Le concept est simple : chaque dimanche ils publient une vidéo de leur dernière composition enregistrée à l'extérieur le plus souvent, devant un lieu en rapport direct avec les paroles de leur chanson. Depuis mars, ils ont un espace radio-pho-nik sur Le Mouv' et ils enregistrent leur troisième saison.

Si je vous parle de La chanson du dimanche c'est parce qu'ils ont donné corps/voix, à un de mes coups de gueule récurrent. Un de ceux qui me font regretter d'être un être humain. Ou de ne pas être sourde, au choix. Lequel ? Vous allez vite comprendre :



Leur blog : http://blog.lachansondudimanche.com/
Leur myspace :
http://www.myspace.com/lachansondudimanche
(en même temps, sont pas difficiles à trouver !)

dimanche 21 septembre 2008

japanimation

AI YORI AOSHI
- Enishi [2003]


Titre français :
BLEU INDIGO - Saison 2

Studio : J.C. Staff

de : Kou Fumizuki

Série de 12 épisodes
+ OAV "Saiai".


Ai yori aoshi, suite et fin. Comme si ça n'avait pas suffit J.C. Staff remet le couvert. Revoilà Kaoru et tout son harem au grand complet ! Deux ans ont passé depuis le premier épisode et nos deux tourtereaux s'aiment toujours autant, si ce n'est plus. On les retrouve, piaffant d'impatience, rêvant d'une vie à deux et de moments beaucoup moins kawaï - si vous voyez ce que je veux dire ! Le père d'Aoi est d'accord mais le bon usage veut que le couple se réserve jusqu'au mariage. Donc chut, pas un mot. Une chance pour Kaoru qui va continuer à se faire choyer par toutes les filles qui le croient célibataire - en attendant la corde au cou, ça peut pas faire de mal. Quel veinard ce Kaoru décidément ! Mais non je suis une vilaine fille ; Kaoru et si gentil et Aoi si compréhensive... C'est pas comme si Kaoru allait filer à l'indienne avec une autre fille du château ou que Aoi allait se retrouver avec juste ses yeux pour pleurer. Comme je l'ai déjà dit, l'abnégation, ça paye dans un anime. Tous les éléments sont réunis pour un happy end aux couleurs du soleil levant. Lalala :




L'OAV supplémentaire est un petit bijou de 15 minutes façon conte de Noël où l'on retrouve Kaoru qui vient tout juste de rentrer à la fac. Inratable !

samedi 6 septembre 2008

japanimation

AI YORI AOSHI [2002]

Titre français : BLEU INDIGO

Studio : J.C. Staff

de : Kou Fumizuki

Série de 0 + 24 épisodes.

Love Story. Lui c'est Kaoru, un étudiant qui termine sa Licence à Tokyo. Elle c'est Aoi. Lui il est plutôt heureux d'avoir quitté son patelin natal - dans ces cas là étudier est encore et toujours la meilleure des excuses possibles. Papy t'es un vieux con, je n'ai envie de rien de ce que tu me proposes puisque tu veux m'y obliger - et puis parce que tu en as tellement envie il faut bien le reconnaître, je me casse étudier à Tokyo t'as pigé vieux ? Je vais étudier, me saouler, étudier, baiser des putes, étudier, me faire tatouer et étudier, t'as vu ? Elle c'est Aoi. Lui il a trouvé la paix, il a une vie sympa, bon il ne s'est jamais saoulé, tapé une pute ou fait tatouer, mais il a fini par devenir zen, Tokyo oblige. Elle c'est Aoi. Et Aoi c'est Kaoru. C'est ça son foutu problème. Lui il était devenu zen et il s'était trouvé une seconde voie toute tracée. Et Aoi débarque. Pour Aoi c'est comme si Kaoru ne l'avait jamais quittée, une évidence. Elle est Kaoru toute entière, sa propre idée de l'amour que lui inspire Kaoru. Elle va lui servir du Je voulais seulement te revoir, du Je vais essayer de devenir quelqu'un de bien pour que tu m'aimes, du Je suis heureuse que tu aies dit que tu m'aimais même si c'était un mensonge, du Je ne veux personne d'autre que toi, bref, du Je t'aime. Lui c'est Kaoru. Elle aussi c'est Kaoru. L'étudiant est mort de trouille. Mais il est tout dur aussi. Quant à Aoi, ne fais pas ta maline avec moi. Malgré ton kimono impeccable, ta naïveté et ta différence innocente. Moi Sophia, je sais que tu bous, que tu le réclames, que tu gesticules, que tu le veux*. Que si tu pouvais, connasse, tu te grefferais toi-même à Kaoru. Et oué je sais que tu trompes le spectateur lorsque tu dis que tu es heureuse. Bien sûr le pire ça aurait été de ne jamais rencontrer Kaoru. De ne plus pouvoir lui parler, d'arrêter de savoir ce qu'il devenait, plus jamais jamais. Tu sais ? Ce qui te fait chialer alors que t'es super heureuse ? Les mots que tu redoutes d'entendre comme une grille métallique qui te ferait éclater tous les cartilages. Oui mais voilà. Kaoru va respecter la fille. Il va être troublé, excité, in love. Ca ne sera pas un sentiment aussi réciproque qu'elle le voudrait, parce qu'il n'est pas aussi timbré qu'elle. Mais il sera assez époustouflé par Aoi pour accepter son amour, il trouvera une manière de la protéger - car dans cet état elle ne peut même pas se balader en ville toute seule la pauvrette, il trouvera malgré tout une manière de lui faire de la place et de l'aimer. Pas de doute possible, messieudames, nous sommes bien dans un japanime.

Eloge de la femme soumise.

*Merci Mathieu !

Allo ?

Y a-t-il encore quelqu'un qui lit ce blog ?

P.S : J'ai remis à jour tous les liens vidéo.

samedi 9 février 2008

I luv my eee

Janvier 2008 c'était aussi l'arrivée tant attendue du EEE PC d'Asus. Enfin un portable vraiment portable, léger, qui rentre dans ton sac à main et qui est livré avec Linux. Comment résister à un ordi tout équipé (wifi, webcam, son, sacoche) à moins de 300 reu ? C'est pas moi qui saurait répondre à cette question :


Tout sur le EEE PC (fiche technique, démos, dispos, forum, etc.) sur le blog de Pierre :



Et une série de clichés pour la route, façon yin et yang (à noter que le EEE PC noir est rugueux au toucher et que le blanc est nacré et lisse) :

























































































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Encore un grand merci à David, pour m'avoir prêté son EEE PC noir.
Et aussi pour m'avoir offert le blanc. Accessoirement ^^.

One month later...

Enfin de retour sur mon blog après les fêtes et les exams :) Yupie.